Esthétique, mémoire sensible et changement
La capacité d’innovation des organisations est devenue un enjeu du XXIe siècle. La nécessité d’innover et la capacité de l’organisation à se transformer pour se développer repose sur une collaboration entre les personnes et les groupes, tout comme elle touche l’organisation dans son milieu, par ses comportements responsables.
Pourtant, la pression à une productivité sans fin à laquelle les humains sont subordonnés produirait des effets toxiques, freinant l’inspiration et le désir de collaborer, privant l’organisation de ses propres capacités à innover.
Aujourd’hui, les pressions grandissantes de la société qui poussent vers plus de démocratie participative bouleversent l’ordre établi, la gestion étant invitée à se redéfinir, à ouvrir la gouvernance à une plus grande participation de toutes les parties prenantes. Cette tension entre deux visions du monde questionne le processus d’organisation. Cette recherche le fait en s’inspirant de ce que pratiquent des organisations d’avant-garde, comme celles du monde de la création, en matière des savoirs d’action collaboratifs et d’intelligence collective.
Les organisations qui abordent déjà ce changement culturel pour transformer leurs pratiques le font toutefois sans repères concrets. La recherche propose donc des pistes menant une gestion plus démocratique des organisations en produisant un référentiel de pratiques d’animation et de création de connaissances utile pour les organisations à partir d’une perspective qui mise sur le dialogue et la créativité, ce qui se traduit par une approche esthétique de l’organisation, axée sur l’expérience et la mémoire sensible.
Pourtant, la pression à une productivité sans fin à laquelle les humains sont subordonnés produirait des effets toxiques, freinant l’inspiration et le désir de collaborer, privant l’organisation de ses propres capacités à innover.
Aujourd’hui, les pressions grandissantes de la société qui poussent vers plus de démocratie participative bouleversent l’ordre établi, la gestion étant invitée à se redéfinir, à ouvrir la gouvernance à une plus grande participation de toutes les parties prenantes. Cette tension entre deux visions du monde questionne le processus d’organisation. Cette recherche le fait en s’inspirant de ce que pratiquent des organisations d’avant-garde, comme celles du monde de la création, en matière des savoirs d’action collaboratifs et d’intelligence collective.
Les organisations qui abordent déjà ce changement culturel pour transformer leurs pratiques le font toutefois sans repères concrets. La recherche propose donc des pistes menant une gestion plus démocratique des organisations en produisant un référentiel de pratiques d’animation et de création de connaissances utile pour les organisations à partir d’une perspective qui mise sur le dialogue et la créativité, ce qui se traduit par une approche esthétique de l’organisation, axée sur l’expérience et la mémoire sensible.